Nouvelles des agents immobiliers à Londres

Un entretien avec... Rob Hill, directeur

Dans le cadre des célébrations de nos 15 ans, nous avons demandé au directeur et fondateur de l'entreprise Rob Hill quelques questions sur le BPL et les changements intervenus au fil des ans.

Pourquoi êtes-vous devenu agent immobilier ?

Honnêtement, je doute que beaucoup de jeunes d'Uni rêvent de devenir agent immobilier ! La vérité, c'est que, comme beaucoup d'autres, je suis simplement tombé dedans. Après avoir obtenu mon MBA, j'avais l'intention de déménagement dans le investissement Cependant, le 11 septembre est venu compliquer les choses et les emplois dans ce secteur sont devenus rares, surtout pour les personnes ayant peu d'expérience. J'ai fini par accepter un emploi dans une agence immobilière locale pour essayer de rembourser les factures de cartes de crédit et les emprunts contractés pendant mes études.

Le travail me plaisait, mais pas l'entreprise. Après quelques mois, j'ai donc décidé de partir et de m'installer à mon compte. L'idée initiale était de le faire à court terme et peut-être de voyager, mais cela m'a vraiment plu et, en un rien de temps, quinze années se sont écoulées !

Alors pourquoi avez-vous choisissez d'établir une agence dans les pays suivants Soho?

Être originaire de Londres Moi-même, Soho m'a toujours attirée et j'ai aimé le dynamisme et la diversité du quartier, mais ce n'était pas la raison principale ! C'était tout simplement la géographie. Travaillant dans le secteur depuis relativement peu de temps et avec une petite base de clients dont les biens étaient répartis dans tout Londres, j'avais besoin d'être aussi central que possible pour pouvoir me rendre aux visites et retourner au bureau aussi vite que possible. À l'époque, la plupart des biens immobiliers dont je m'occupais se trouvaient dans la zone 3 et au-delà, de sorte que Soho constituait une plaque tournante idéale pour entrer et sortir rapidement de la ville.

Comment les choses ont-elles évolué au fil des ans ?

La propriété du puits est bien plus coûteux aujourd'hui qu'elle ne l'était à l'époque ! Et en fin de compte Propriétés du Grand Londres n'était qu'une entreprise de moi ! Cela signifie que je m'occupais de toutes les évaluations, des visites, des références, du marketing et de la comptabilité. Au fil des ans, l'équipe s'est considérablement agrandie, ce qui nous a permis de faire progresser l'entreprise et d'améliorer notre position au sein de l'Union européenne. Londres biens cercles.

En ce qui concerne les agences, les nouvelles technologies ont eu une grande influence sur les pratiques de travail. En 2003, la plupart des budgets marketing des agents étaient consacrés aux annonces dans les journaux et à des publications telles que LOOT. Le portail findaproperty.co.uk était le plus important, mais même à cette époque, il n'y avait pas de site Internet. tous les agents l'utilisaient. Rightmove était important au niveau national, mais pas autant à Londres, et proposait donc des essais gratuits (comme ils nous manquent, à nous les agents !). Il fallait donc être très actif au téléphone et ne pas compter sur les bases de données pour avertir les candidats de l'arrivée de nouveaux biens ou pour que les portails fournissent des pistes, comme c'est le cas aujourd'hui. Ayant reçu cette formation, je m'assure que tous ceux qui travaillent ici, tout en adoptant les nouvelles technologies, n'en deviennent pas trop dépendants et veillent à parler en personne ou par téléphone à tous nos clients aussi régulièrement que possible.

Les ambitions futures de l'entreprise

Nous avons actuellement deux succursales et j'aimerais en ouvrir un certain nombre d'autres afin d'améliorer notre visibilité et d'aider l'entreprise à aller encore plus loin. Le marché n'est pas très bon en ce moment, ce n'est donc pas le moment de relever ce défi, mais si les choses s'améliorent au cours des prochaines années, c'est quelque chose que nous étudierons plus en détail.

L'avenir de l'agent immobilier ?

Nous assistons déjà à l'entrée en vigueur de nouvelles réglementations, ce qui est bien accueilli par la plupart des agences réputées. La réputation des agents immobiliers L'application stricte d'un code de conduite et la reconnaissance des qualifications au fil du temps y contribueront et permettront, espérons-le, de réduire le nombre d'opérateurs peu scrupuleux. Ma seule préoccupation concernant tous les changements récents qui sont entrés en vigueur est l'absence de consultation du gouvernement sur les nouvelles procédures et les implications pour le marché.

Le modèle en ligne améliorera leur part de marché grâce à toutes les ressources dont ils disposent, mais il y a déjà un certain nombre d'histoires d'horreur qui sortent à propos de mauvaises expériences. Je suis donc certain qu'il y aura toujours une demande pour des sociétés à façade professionnelle avec une connaissance approfondie de la région et un bon niveau de service à la clientèle. Nous verrons de plus en plus de technologie et de visites en réalité virtuelle, mais cela ne devrait être utilisé que comme un outil, car nous croyons fermement que les gens doivent visiter physiquement les propriétés avant de prendre leur décision finale.

Regrettez-vous de ne pas être entré dans le secteur bancaire ?

Pas une seconde. J'ai la chance d'apprécier non seulement ma carrière, mais aussi les personnes avec lesquelles je travaille. Le travail est très varié et nous sommes tous amenés à interagir quotidiennement avec un large éventail de personnes qui rendent chaque jour agréable, tout en entrant et en sortant de certaines des meilleures propriétés de Londres. Dans la plupart des cas, la frontière entre les clients, le personnel et les amis est devenue de plus en plus floue et les rencontres que nous faisons sont à la fois agréables et gratifiantes. Je ne connais pas d'autre secteur qui soit aussi social et agréable.

Rob Hill MBA
Directeur, Greater Propriétés de Londres

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