L'immobilier de premier ordre à Londres est très demandé malgré les difficultés liées au Brexit
Deux évolutions affectent LondresLe marché de l'immobilier est en pleine mutation. L'une d'entre elles est la faible croissance des ventes de logements dans le Grand Londres en raison des prix élevés, des changements dans les taux de droits de timbre et de l'imprévisibilité du Brexit. Le le moins cher Les arrondissements de Newham, Bexley et Havering sont les moins touchés.
La baisse a été soutenue par les modifications des taxes foncières qui ont vu les acheteurs de résidences secondaires se ruer sur les transactions au cours du premier trimestre de l'année. Le mois de mars a enregistré la plus forte hausse, avec un blitz d'activité enregistré peu après l'entrée en vigueur du nouveau changement de droit de timbre le 1er avril 2016. Dans l'ensemble, le coût moyen pour les acheteurs en Angleterre et au Pays de Galles a augmenté de 0,3%.
La deuxième évolution est un regain d'intérêt pour Centre de LondresLes acheteurs chinois et hongkongais sont de plus en plus nombreux à s'intéresser à l'immobilier de l'Union européenne. Une maison dans un prime London est plus d'un cinquième moins cher aujourd'hui qu'il ne l'était au moment du vote du Brexit l'année dernière. Les prix seront soutenus par la plus forte concentration d'acheteurs étrangers dans le centre de Londres.
Les acheteurs étrangers ne semblent pas préoccupés par le Brexit, choisir Londres pour sa stabilité économique et son système juridique sûr et efficace. Bien sûr, une culture de classe mondiale, des écoles et des universités de premier ordre, et un système d'éducation et de formation de haut niveau sont autant d'atouts qui font de Londres une destination de choix. souhaitable La "vie londonienne" est un attrait majeur pour les acheteurs de maisons qui recherchent le meilleur du meilleur.
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